Intensité

by - mardi, juillet 02, 2013

le week-end rempli d'émotion. j'en ai même pleuré ! j'étais toute excitée de partir et pourtant nous avons couru partout vendredi soir pour avoir notre train à l'heure. la valise pleine des livres et des robes pour ce long été (maintenant je me demande si cela servait de remplir tout). 

et enfin dans le thalys. je me mets directement dans ma musique pour mieux passer le temps. je dors un peu. sans oublier de couper le 3g bien sûr. il serait fâcheux de payer pour rien. en belgique, inutile de préciser qu'il pleuvait des petites gouttes.


le soir même un petit somme, j'ai appris que j'étais plus qu'allergique à ma chienne. notre histoire d'amour s'est arrêtée là où elle a commencé. d'ailleurs elle m'a fait la tête. le lendemain, je me réveille tôt. limite en sursaut car j'entends mon père hurler. le temps est gris... on va vite préparer la salle pour l'anniversaire de ma grand-mère. on court faire une petite course. la conduite est comme le vélo, cela ne s'oublie pas. et qu'est-ce que j'aime la voiture de papa. 


la salle était magnifique, merci à ma tante, ma cousine et tous les cuistots car c'était aussi beau que délicieux. il y a avait plein de monde. de bonnes retrouvailles avec la famille que l'on ne voit pas tous les jours. dire encore que je ressemble à mon papa. pleurer car c'était une surprise. et avoir la visite de denise pour quelques heures ! un magnifique moment avec les cousins, cousines and co. parler du passé et du futur. 

et passer la soirée en terrasse à namur à siroter des cocktails et manger un petit bout. magnifique moment. 


pour illustrer cette magnifique soirée, j'ai fait quelques photos et vidéos à partir d'instagram. et rentrer tranquillement car la journée a été si intense que la fatigue se fait ressentir très vite.

le dimanche, le temps était vraiment plus clément. je fus en short toute la matinée pour vous dire à jouer au foot avec les chiennes et cueillir des groseilles et des fraises. et puis travailler mon mémoire avec le grand-père. 


avec dix degrés en plus je me serai jetée dans la piscine... mais ce ne fut pas le cas. 
et revenir dans la ville qui finalement nous a manqué. civilisation nous voilà.

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